Voyages 2005-2006

1/8/2006

Bonnes adresses contre celles deconseillées

Voici une nouvelle rubrique : Bonnes adresses contre celles deconseillées pour donner des adresses sympathiques ou le contraire… le tout accompagné de quelques conseils, avec des indications par villes.
Chaque pages WEB des pays où nous sommes restés plus de 5 jours commence par cet article puis par les bonnes (et mauvaises) adresses que nous avons pu tester.

Les codes sont des smileys classiques :
Si nous avons été satisfaits :

Si nous n’avons pas été satisfaits :

Si nous avons eu un coup de coeur :

Nous conseillons à tous une visite du site : http://www.hospitalityclub.org. Ici s’inscrivent des personnes pretes a aider des voyageurs, par des conseils voire des hebergements : etre recus sur place par des locaux, c’est extraordinaire.

Ne pas hésiter a contacter les agences de voyages locales qui proposent parfois des billets d’avions peu onéreux. Exemple : au Mexique, Culiacan/Mexico en avion nous a couté 1030 pesos contre 940 pour le bus (premiere classe il est vrai, mais tout de meme 20 heures, c’est long !) : 90 pesos, c’est moins de 8 euros.

D’autres conseils sont integres dans cette rubrique, classés par ville visitée.

14/7/2006

Bonnes (et mauvaises) adresses en EQUATEUR

QUITO
Resto “Chez Alain”
Baquedano 405 y Juan Leon Mera
tel : 290 31 92
prix : 4 dollars le menu
–> Le patron Alain est super sympa (faites-lui un bisou de notre part ). Le jeudi soir, il organise des soirees tarot.

Casa Bambu
Solano 17 58 y Av. Colombia
tel : 2226-738
prix : 16 dollars la chambre double avec Baño privado/ 10 dollars avec baño compartido
–> Pour y arriver, ça monte dru, 50 metres de mini-trecking ! Il se trouve dans la première rue à droite après l’Auberge-inn. Hotel mignon, où de grandes terrasses ont vue sur Quito, belle cuisine, internet, coin salon avec TV.

Resto “la casa del Cangrejo y el Pargo”
9 de Octubre 978 y Cordero
tel : 256 71 24
prix : 5 a 7 dollars le ceviche
–> Délicieux ceviches hyper copieux. En plus, le resto reste ouvert “tard” le soir (on est encore servi à 22 heures).

A 2 heures de Quito = A faire : le marché d’Otavalo : vaut vraiment le coup d’y aller pour faire ses achats : gigantesque et donc beaucoup de choix et de possibilites de marchander.

MINDO
Chouette adresse pour apprendre l’espagnol chez Julia : tout est inclus. 3 repas/jour, logement, 2 heures de cours de grammaire avec un tres bon prof (on recommande Carlos) et activites avec Julia tout en pratiquant la langue.
27 dollars par jour (190 dollars divises par 7 jours).
www.mindospanishschool.com
(faites lui un bisou de notre part !)

LES ILES GALAPAGOS
Isla Isabella
Hotel San Vicente
Av Cormorant y Escalecias
tel : 052529140
prix : 20 dollars la chambre double con baño privado (moins cher sans)
–> Le proprio Antonio est au debarcadaire pour vous accueillir (il a son propre camion). L’hotel est sympa quand on est plusieurs ou tout seul, il y a de l’eau chaude et Antonio organise plein d’excursions sur l’ile. On vous conseille celle de “los Tuneles” pour voir des pinguoins, tortues, otaries et oiseaux en essayant d’y aller un jour de soleil.

Cormorant Beach house Hostal
Av. Antonio Gil
tel : 05 2529 192
albermarle20@hotmail.com
prix : 25 dollars la chambre double con baño privado
–> idéal pour un couple. Petit hotel au bord de la mer avec une petite cuisine. Tres tranquille, on n’entend que le bruit de la mer.

Restaurant de Betsy
Av. Antonio Gil, frente al parque Nacional Galapagos
prix : 2,5 dollars le menu (soupe, plat et jus)
–> attention, il n’y a pas de pancarte mais seulement des plantes vertes à l’entrée. Tres bon et vraiment pas cher pour la ville.

A faire : Aller à Plaza Sur (croisiere d’une journée en bateau) : joli ilôt de cactus geant et d’algues rouges. On y voit des iguanes terrestres, mais surtout, on a la possibilite de nager avec les otaries : extraordinaire ! Elles jouent avec nous !

QUILOTOA
Hostal Cabañas
tel : 092725962
prix : 6 dollars par personne (dortoir + pension complete). Ou 2,5 dollars seulement le dortoir.
–> Il y a aussi des chambres avec baños privados plus cheres. Hotel tenu par des indiens qui peignent des tableaux. Dortoirs sommaires avec des grands lits et un chaufaud (heureusement car il y fait froid et il y a beaucoup de vent en juillet - août!). L’hotel est situe a l’entree de la ville. Pas loin, ne pas manquer la lagune dans le cratere : magnifique surtout quand il y a du soleil.

BANOS
Hospedaje familiar “mama Emma”
av. Amazonas ( a quelques rues du terminal de bus)
tel : 274 00 52
prix : 10 dollars
–> Un peu excentré, mais au bord de la riviere (ou l’on peut se jeter en cas d’eruption du volcan !) et dans un joli jardin. Les chambres du bas sont très calmes et tres propres avec eau chaude. Très sympathique.

10/7/2006

Le Quito colonial

Enfin, nous prenons un peu de temps pour visiter Quito. Ce sera une journée au Quito colonial avec ses places, églises et couvents. Au couvent “San Fransisco", nous avons droit à une visite guidée personnelle qui nous permet d’en apprendre un peu plus sur les franciscains, l’Ecole de peinture “Quiteños” et ses arts. Il faut dire que Quito est inscrite au Patrimoine de l’Humanité. Et pour finir la journée, un bon ceviche de crevettes et coquillages ! Miam !

Sur l'Equateur

La Mitad del Mundo

A 1 heure environ de Quito, nous visitons un village touristique appelé “la mitad del Mundo”, soit “le milieu du monde". Nous pouvons donc nous photographier sur cette ligne d’Equateur l’un au nord, l’autre au sud. Dans le musée Inti à 10 minutes à pieds à côté, nous faisons quelques expériences : sur la ligne d’Equateur, un oeuf tient sur un clou, le vidage de lavabo démontre la force de Coriolis côté sud et côté nord.
C’est aussi l’occasion d’en apprendre d’avantage sur l’expédition de La Condamine. On ne savait pas que la France et l’Equateur avait autant d’histoire en commun.

Otavalo

Dernier samedi en Equateur.
C’est l’occasion de visiter l’un des plus grands marchés d’Amérique du Sud : le marché d’Otavalo à 2 heures de Quito. Et sa réputation n’est pas volée. Il est tellement grand qu’on ne passe jamais par le même endroit ! Pour le bonheur des yeux, les vendeurs sont tous en costumes : les femmes avec des jolies chemisiers blancs et une robe noire fendue et les hommes en blanc avec un beau chapeau. Des tapis, des pulls en alpaga, des vêtements de toutes sortes, des bottes… on ne sait plus où donner de la tête. Lionel Althuser et Estelle Bravard font le plein de souvenirs : attention, les bagages explosent !

Baños

Après 10 mois de vaines recherches, nous trouvons un hotel ou l’on peut dormir tranquille : personne ne crie, seuls le bruit de la riviere et le gazouilli des oiseaux rappellent que le monde existe… ajoutons tout de même les grondements du volcan Tungurahua. Il gronde depuis plusieurs années et il a même entrainé 2 évacuations de la ville de Baños quelques années plus tot. Il faut dire qu’en cas d’éruption, la ville serait, selon certains, recouverte en 15 minutes.
La grande sortie à la mode est de monter à 21h sur les flancs du volcan pour photographier les jets de lave dans la nuit. Une fois parvenus au lieu de rendez-vous, on ne voit rien. Il pleut. Ou bien l’on se trouve dans les nuages.
Mais pas la peine de monter pour l’entendre cracher ses gaz. Les touristes ne restent en général pas longtemps. Les locaux vous diront que le volcan a juste quelques maux d’estomac, mais nous non plus, on ne fera pas long feu… On ne sait jamais…

4/7/2006

Quilotoa

On l’avait vue sur un poster a Quito, alors on est allé la voir de plus près.
La lagune du Quilotoa est un lac au fond d’un cratère de volcan, à 4000 mètres d’altitude. Magnifique, surtout lorsqu’il y a du soleil qui colore les eaux en bleu-vert. Par contre, en ce mois de juillet (comme au mois d’aout parait-il), il y a un vent à vous faire tomber par terre. On l’entendra toute la nuit faire danser le poële de notre dortoir. Nous rencontrons Sonia et Hugo dans un hotel tenu par une communaute d’Indiens. Mais, vite, vite, on redescend vers des temperatures plus chaudes direction Baños.

2/7/2006

Galapagos

1 journée de transfert de Quito et nous voici rendus aux iles du Pacifique les plus célèbres du monde pour leur écosysteme. Cette notoriété n’est pas volée. Dès la sortie de l’avion, après avoir acquitté la taxe d’entree au parc (100 dollars), on se remet de ses émotions en regardant les pelicans et les fregates voleter au-dessus de notre premier bateau. On regarde l’eau azur en espérant voir plus de faune, toujours plus. Un coup de bus et nous voici a Puerto Ayora. Tiens, il y a une otarie dans le port.
Arrivés sur l’ile d’Isabella, on rencontre des iguanes marins. Pas un, ou deux, mais vingt, trente. On nous propose d’aller voir des flamands roses et des tortues terrestres. Le lendemain, nous voyons des pingouins (heu, manchots !!!, des tortues (de mer cette fois), des requins et toujours nos iguanes marins.
2 jours plus tard, nous nageons avec de jeunes otaries (un moment inoubliable) qui visiblement s’amusent plus avec nous qu’à attendre sagement le retour de leur maman partie pecher. Une tortue apparait a quelques mètres pendant que les fous et autres oiseaux aux pattes bleus volent au-dessus de notre bateau. Sur l’ile où nous débarquons, des iguanes (terrestres cette fois) témoignent de leur splendeur.
Le bilan est nettement positif - sauf pour le compte bancaire -. Et d’ailleurs, pour couronner le tout, pas de douche froide : la France gagne haut-la-main son quart de finale contre Brésil. Zizou, Zizou !

23/6/2006

Ecuadorrrrrrrrrrr

Nous arrivons à Quito, capitale de l’Equateur, le jour de la victoire hissstorrrrrrico de l’équipe de football nationale sur le Costa Rica, synonyme de qualification pour les 1/8ième de finale de la coupe du monde. Ils se voient deja champions du monde ici, des maillots jaunes vifs aux couleurs nationales sont portés par toutes les classes d’age ! Gooooollllll… Ecuadorrrrrrrrrrr.
Nous restons sérieux et passons 4 jours dans un village très agréable de 1500 habitants, Mindo, pour prendre des cours particuliers d’espagnol. En pleine montagne, en même temps que 3 heures quotidiennes de cours, nous randonnons pour observer des toucans, des papillons par milliers, des colibris, des cascades et tombons nez à nez avec un cerf sauvage. Nous serions les premiers à photographier cet animal !
Après cette approche culturelle, linguistique et ornithologique, nous revenons à Quito, en terre quasiment francaise (bar “Chez Alain") pour participer a l’euphorie footballistique. Allez les bleus, le match contre le Togo commence dans 1/2 heure.

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