Voyages 2005-2006

1/8/2006

Bonnes adresses contre celles deconseillées

Voici une nouvelle rubrique : Bonnes adresses contre celles deconseillées pour donner des adresses sympathiques ou le contraire… le tout accompagné de quelques conseils, avec des indications par villes.
Chaque pages WEB des pays où nous sommes restés plus de 5 jours commence par cet article puis par les bonnes (et mauvaises) adresses que nous avons pu tester.

Les codes sont des smileys classiques :
Si nous avons été satisfaits :

Si nous n’avons pas été satisfaits :

Si nous avons eu un coup de coeur :

Nous conseillons à tous une visite du site : http://www.hospitalityclub.org. Ici s’inscrivent des personnes pretes a aider des voyageurs, par des conseils voire des hebergements : etre recus sur place par des locaux, c’est extraordinaire.

Ne pas hésiter a contacter les agences de voyages locales qui proposent parfois des billets d’avions peu onéreux. Exemple : au Mexique, Culiacan/Mexico en avion nous a couté 1030 pesos contre 940 pour le bus (premiere classe il est vrai, mais tout de meme 20 heures, c’est long !) : 90 pesos, c’est moins de 8 euros.

D’autres conseils sont integres dans cette rubrique, classés par ville visitée.

18/4/2006

A chaque pays sa fiche

A terme, pour chaque pays que nous avons visite, vous trouverez une fiche correspondante qui indique :
- des reperes geographiques
- quelques donnees institutionnelles
- et surtout nos impressions sur la cuisine, les personnes recontrees, les paysages, etc.

Ces fiches sont accessibles depuis la page d’accueil, rubrique fiches pays.

25/2/2006

Bonnes adresses et adresses deconseillees en CHINE

DATONG
–>A droite en sortant de la gare : prendre la grande rue a droite sur 200 metres au moins et entrer dans une impasse, un petit restau fait l’angle. Nous avons oublie le nom de l’hotel au fond de l’impasse, mais moins cher que ceux ayant pignon sur rue, ils offrent des prestations tres correctes.
NE PAS MANQUER les boudhas a quelques kms au nord de la ville (un bus y va pour qq yuans), et negocier un taxi (si on est 3 ou 4) pour aller voir les temples suspendus a 70 km au sud de la ville. Le détour est largement conseillé !
L´agent de voyage (du Ministère du tourisme gouvernementale) de la gare ne vous rate en général pas. Il parle anglais, propose des tarifs assez onéreux - mais tout est relatif - et parle anglais.

YANGSHUO (proche GUILIN)
Bamboo house
(2nd hotel plus calme que le premier)
12 w street (au bout du village)
prix : 100 yuans la chambre avec 2 lits matrimonials !
–>chambres tres confortables, mais pas de vue. On conseille les balades a velo (le tandem, c’est genial aussi) au milieu des rizieres et des pains de sucre.

BEIHAI
Jin Sha Dao hotel
Road 10, Silver Beach
tel : (0779) 3893818
prix : 60 yuans mais on a marchande la chambre double
–> pres de la Silver Beach, la grande au fond du dernier etage est tres calme, mais beaucoup d’escaliers et pas de lit double. Les 2 chambres avec lit double sont au 1er etage donc trop bruyantes. Dans l’ensemble, l’hotel est de trrres bon standing pour le prix, et on peut se rendre sur la plage a pied : c’etait “limite coup de coeur".

23/12/2005

Cafards, rats et moustiques

Depuis Shanghai, nous prenons notre anti-paludisme, conformément aux conseils de l’institut Pasteur à Paris.
Les moustiques attaquent mais la chasse dans la chambre et le ‘’pschiut'’ sur la peau suffisent dans la plupart des cas. Nous n’avons utilisé la moustiquaire de Clothilde que 2 fois (notamment a Jakarta). Petite remarque : les moustiques ont tendance à s’attaquer plutot à Lionel qu’a Estelle… Heureusement, les peaux de Jérôme et Huy lui sont venus en renfort quelques fois.
Les cafards ne nous quittent plus depuis la Chine meme si nous avons eu un “break” au Cambodge. Ils sont de plus en plus gros : certains mesurent 4 cm ! C’est l’occasion de chasse à la chaussure. Le problème, c’est qu’ils grimpent partout ! (et sont rapides, ajoute Lionel)
Sur la côte sud de la Chine, les rats dans les rues semblaient chose normale pour les habitants. A Ko San road (Bangkok), on en a vu un tellement gros dans une poubelle qu’on l’a pris dans un premier temps pour un chat. Dans certains hôtels, c’est la bagarre sur les toits en tôle la nuit : mieux vaut prévoir les boules quies. Sur l’ile de Java, on en a eu 2 fois dans notre chambre : réveillé en pleine nuit par des bruits de froissement des sacs en plastiques contenant de la nourriture, Lionel a du courageusement partir à l’attaque pour rassurer Estelle ! C’est beau…

8/11/2005

Le coiffeur en Chine

Dans les rues chinoises, il y a partout des magasins de telephones portables et des coiffeurs. Ils vous coiffent bien sur, mais en plus, ils vous massent.
Cela commence assis avec un peu de shampoing sur la tete ; la coiffeuse le fait mousser en massant le crane et avec seulement une pipette d’eau. Un bon quart d’heure plus tard, les cheveux sont bien mousseux et le crane bien masse. Alors elle s’occupe du cou, du dos et des bras. Suivant les masseurs, cela se passera assis ou couche.
Puis tout redevient normal pour un coiffeur : les cheveux sont rinces, seches et coiffes. Le tout pour 2,5 euros. Un regal, avec en prime chez certains coiffeurs le nettoyage des oreilles.

A savoir que certains coiffeurs ont des devantures roses… pour d’autres plaisirs
NB de Lionel : quelle guigne, pas eu le temps de tester ;-)

3/11/2005

le passage de la frontiere sino-vietnamienne

Dongxin : un pont. La Chine d’un coté, de l’autre le Vietnam. On va d’un pays à l’autre à pied : les formalités en anglais sont rapides et nous voilà au Vietnam. Mais alors pourquoi notre amie chinoise nous a dit que la frontière était fermée ?
La réponse nous est donnée par un restaurateur vietnamien de Nouvelle Calédonie (émigré en 1962) sur la baie d’Halong : le gouvernement chinois a fermé la frontiere à ses ressortissants pour qu’ils cessent de perdre leur argent dans les casinos viets de la baie d’Halong. Les dizaines d’hotels et restaurants de la baie, construits depuis 5 ans pour acceuillir les touristes chinois sont vides.
Quelques occidentaux (environ 500) déambulent mais rapportent moins que la masse de chinois (ils étaient plusieurs milliers à arriver chaque jour) qui passait avant février 2005, date fatidique de “fermeture” de la frontière. Pour revenir dans le coin, il leur faut prendre une autre route, soit 400 km, 9 heures de route. Dissuasif, pas vrai ?
Pour nous, il faut maintenant échanger nos yuans en dongs : pas de banque à l’horizon… Et d’un coup, sur un marché, une place, des femmes comptent des tonnes de billets : c’est la banque en plein air ! Nous changeons tous nos yuans et devenons millionaires, en dongs. Ca va chercher dans les 50 euros… il va falloir s’habituer a tous ces zéros.

30/10/2005

Ces gentils : de nouveaux amis !

Merci à :

* le jeune garcon de Tongli qui nous a laissé utiliser internet et ses ordinateurs 1 heure, gratuitement
* notre voisin de couchette du train Shanghai/Guilin qui nous a accompagné à un hotel pas cher (payez 120 Yuan, au lieu de 400) à 23h et qui a refusé que l’on paye une partie du taxi
* Pang, rencontrée dans la grotte de la flute de bambou à Guilin, qui nous a traduit en anglais les commentaires de la guide locale, que nous avons revu à Yangshuo pour une partie de vélo, chez qui nous avons diné à Beihai et qui a géré Estelle à l’hopital
* les grands-parents du train “assis dur” (23h30 à 8h Datong/Pingyao) qui nous ont nourri aux pommes
* la cordonnière à Tongli qui a réparé les chaussures de montagnes d’Estelle avec du cuir, pour 1 euro
* la vendeuse d’un petit supermarché Guilin qui a lu le détail des notices des vingtaines de soupes pour en trouver une ‘’ bu lad ‘’ (non spicy) pour Estelle.
* les serveurs de restaurant qui patientent de longues minutes, pour nous laisser choisir puis pour comprendre notre commande… personnalisée.
* les 3 jeunes filles qui nous ont trouvé des adresses d’hotel à 2h du mat à Beihai. Sans un mot d’anglais !
* Le monsieur de Dongxing qui nous a indiqué comment passer la frontière sino-vietnamienne.

Et la plus chouette : Yinan de Beijing a qui l’on téléphone à la première incompréhension rencontrée !

22/10/2005

Fièvre dans la petite ville balnéaire de Beihai

Il y a 3 jours, Estelle est tombée malade : diarrhée l’après-midi puis vomissements la nuit, et fièvre dès l’aube. La fièvre amplifiant dans la matinée, nous sommes allés a l’hopital de notre amie chinoise qui nous a aidés a communiquer. Après prélèvements sanguin et d’urine, ils ont placé Estelle sous perfusion (bientot une photo), tout en nous expliquant “it’s good for her body“, seuls mots en anglais, le reste en chinois.
Lionel a dans le meme temps contacté les consulats de Shanghai et Canton(merci a eux, notamment Véronique Saubouam online sur son mail a Shanghai), et un chirurgien francais. Une journée passée dans ces conditions, perfusion après perfusion + 1 piqure (on vous dira quoi quand ca arrivera a nouveau et que notre niveau de chinois nous permettra la maitrise du vocabulaire clinique) et rien : 39,5 degres en arrivant, et… 39,5 en repartant… Jgglluuurps.

De retour a l’hotel, la fièvre est brusquement retombée dans la nuit et après 2 jours de repos, tout va bien : Estelle se nourrit de bouillons de pates ! On en a été quitte pour une bonne gastro ou une intoxication alimentaire.
Tout le monde a été au petit soin pour nous (a l’hopital, et a l’hotel ou ils offrent la soupe !). Plus aucune inquietude, a nous la plage et l’avancée vers le Vietnam.

Exploitation de la main d’oeuvre locale

Notre amie Pang est infirmiere, gagne 1500 yuan (150 euros) par mois, paye 500 de loyer.
Selon d’autres rencontres que nous avons faites sur le “terrain", un ouvrier dans le textile fait 6 journées de 12 heures par semaine, arrondissons a 2 x 35 heures. Il est payé 2000 yuan (ou 200 euros) par mois. Le calcul est vite fait. A un smic arrondi a 1000 euros par mois, on est a un cout x 10 de l’ouvrier francais : on n’est pas a 30 - 50 ou 70% de plus, on est a x 10
Toujours selon nos rencontres, dans une ferme, le revenu annuel serait de 500 yuan par an (50 euros !), mais le batit est preté par l’Etat, sous réserve de lui reverser 20% de la production. Le fermier peut neanmoins se nourrir des fruits (et legumes) de son travail. Il est reconnu par notre entourage (chinois) que la campagne est et reste pauvre actuellement.

Nous, les touristes, avons profite d’une demi-heure de coordorniere fournissant 2 bouts de cuir pour les chaussures d’Estelle (10 yuans, 1 euro) et d’une heure de coiffeur pour massage et coupe (25 yuans + 5 pour la coupe) .

Nous avons aussi cherche des porteurs pour nos sacs mais n’en avons pas trouve. Nos sacs sont aussi gros qu’un bonhomme par ici. Ceci explique sans doute cela.

Beihai, sous les pavés, les plages d’argent et la fievre

Apres la campagne, la plage.
Cote extreme sud de la Chine. Par 28 degrés de température ambiante et toujours autant de circulations en tous sens, la baignade fait du bien, malgré le vent d’hiver qui s’installe. Un crawl de 200 mètres, c’est un début, ca dérouille. Les propectus distribués dans les hotels de Beihai présentent les fonds marins de la “silver beach” sous un jour outrageusement favorable.
Retourner vers la campagne chez les parents de Pang nous paraissait donc tout indiqué. Mais l’affaire du moment a finalement été, nettement devant la - fausse - rumeur qui circule sur la fermeture de la frontière sino-vietnamienne pour cause de “grippe aviaire” (syndrome au gout du jour, 60 morts dans le monde et des milliards d’articles sur le sujet), les 39,5 degrés de température d’Estelle et notre séjour dans l’hopital ou travaille Pang.
On y aura appris, surtout Estelle… qu’en Chine, la perfusion est tout a fait habituelle, presque autant que la diarrhée carabinée (cf anecdotes pour plus d’informations).
Tout va mieux aujourd’hui et on s’est a nouveau baigné, entre 2 passages “repos” dans notre chambre 3 étoiles pour 6 euros a 200 mètres de la plage.
Pas de photos pour l’heure car peu de débit internet.

16/10/2005

Yangshuo, des balades et des amis

Les photos des célèbres pains de sucre de Guilin sont désormais en ligne, comme notre webmasoeur l’a si délicatement indiqué. ;-)
Pour découvrir ces paysages à forte notoriété du sud de la Chine, nous avons enfourché des vélos et navigué sur un petit bateau en croisant plein de gros bateaux remplis de pleins de touristes.
Ainsi, Lionel Althuser et Estelle Bravard étaient tranquillement installés sur un raffiot à 2 euros la place contre 50 euros au départ de Guilin, avec de nouveaux amis chinois : Pang, Deng et Jasmine rencontrés 3 jours plus tot à Guilin. Et voici Estelle en tandem avec Pang, la chinoise très habituée des vélos. Durant les 9 heures de trajets, elle nous a permis d’apprendre une dizaine de nouveaux mots dans 2 champs lexicaux principaux : le vocabulaire de la route (montée, descente, attention! ) et celui des fruits (orange, pomelon…). Imaginez 3 touristes chinois et 2 touristes francais perdus dans les pains de sucre et rizières : c’était nous !
Apres cette belle journée, 3 heures de vélo le lendemain vers “Moon Hill” nous ont suffi : mal aux fesses. Que de rencontres dans cette petite ville de Yangshuo : Tom et Lotta les hollandais, Régis et Christine les Belges et Merrilyn et Toll les australiens. Premiers desserts depuis 1 mois et demi (crème brulée et mousse chocolat chez ‘’le Votre'’ au diner avec ces Ozies).

15/10/2005

mises à jour

quelques photos de plus dans l’album de Quilin, une dans l’album de shanghaï. Je sais pas pourquoi ils ont pas mis d’infos aujourd’hui !

Edit : en fait j’ai trouvé des brèves non publiées sur le blog, soit elles ne sont pas finies et c’est volontaire de leur part, soit ils ont cliqué sur le mauvais bouton ! Estelle ? Lionel ? Vous publiez les brouillons ou pas ?

Sinon voici une vidéo d’un spectacle que Lionel m’a envoyé. Si vous arrivez pas à la lire il vous faut des “codecs divx” (mettez des commentaires si ça marche pas).

Si vous avez des idées pour le site, hésitez pas à proposer !

Webmasoeur

13/10/2005

Boules quiès

Les boules quiès sont indispensables en Chine ! Dans le train, dans n’importe quelle classe, 2 chances sur 3 d’etre cernés de ronfleurs souvent très performants. S’il n’y en a pas, les vendeurs ambulants viennent régulièrement détailler leurs marchandises : pastèques, soupes ou chaussettes.
Dans le bus, s’offrent à vous la télévision et ses films de Kun Fu ou la musique à fond. On commence d’ailleurs à bien connaitre le tube du moment : ‘ni shi a super star !’
A l’hotel, ce sont les voitures et leurs klaxons dans l’avenue, ou au choix le groupe de touristes chinois qui palabre sur les paliers des chambres.
Aucun doute donc : les boules quiès sont indispensables !

12/10/2005

France

Si vous faites le calcul : ca lui fait 74 ans !
France Fustec nous a rejoint à Beijing et nous a suivi partout ! dans les trains, bus, bateau, montée, descente de milliers de marches d’escaliers (valise a la main !) et même a dormir sur une literie dure comme une planche. EN FAIT, elle gambade comme un cabri ! Au menu, noodles, bière, vin rouge si possible, et tout de même un petit déjeuner à l’occidental. France est la reine du marchandage, calculatrice au poing (plus facile que de palabrer en chinois) et elle a même accepté de s’initier à internet !
Merci France : grace à vous, vieillir ne nous fait plus peur !

Shanghai

Shanghai moins étendue que Beijing (avenues de 6 voies contre 10), mais plus concentrée avec d’immenses grattes-ciel (la tour Jinbao fait 88 etages et plus de 400 metres). Le “Bund” est bondé -immanquable jeu de mot-, sur le bord de fleuve, et les rues sont assaillies !
Pour récupérer, 2 jours a Tongli, la “Venise” (mouais…) de la Chine s’imposent : voitures interdites, jardins estampillés chinois, c’est à dire concus sur de petits lacs, des canaux et une spécialité culinaire : la cuisse de porc (miam). Ah oui, il s’y trouve aussi l’unique musée du sexe en Chine.
Autour de Shanghai, le lac d’Hangzou a été déprécié par la pluie et les jardins de Zuzhou nous ont paru un peu fades, malgré une jolie photo avec Estelle pausant, posée, déposée presque.
30 heures de train plus loin avec d’excellents ronfleurs, ici Guilin, plus au sud, 32 degrés. Wharfff. Estelle apprécie, Lionel moins. Le traitement anti-paludisme débute.
shanghaiiiiiii

4/10/2005

Les classiques de Beijing

Cité interdite, grande muraille, temple du ciel : nous avons passé en revue les classiques de Beijing, 5/6 photos. Moins classique, nous étions accompagnés par l’ultra dynamiqueFrance Fustec, née le 7/3/1931 à Quimperlé. Elle a semé Lionel dans la cité rouge et or, éclipsé Estelle au palais d’été et apparait en pleine forme sur la photo du temple du ciel.
Pourtant, Lionel fait des footing de fou chez Yinan (cf. Anecdotes), Yinan avec qui nous nous sommes empiffrés et que nous espérons revoir au Viet-nam dans 15 jours.
Direction Shanghai pour d’autres photos, d’autres brèves plus étayées.
Ah oui, première photo : il pleut… un peu.

muraille

30/9/2005

Petite boucle avant Beijing

Fin septembre 2005, nous assurons de plus en plus en chinois c’est de bon augure pour la suite : de 15 mots, nous avons progressé à 20. Estelle recopie des idéogrammes pour les billets de train et cela fonctionne.

Après Datong, direction Pingyao : question transport, assis sur les planches de 2nde classe de 23h30 à 8h50 (cf photo : imaginez tous ces chinois dans le meme wagon et assis cote a cote avec la tete qui flanche !). Puis… pas mieux : bus couchette qui sentait l’urine à chaque coup de frein, c’est à dire tout le temps. Encore des nuits de reve.

Arrivés à Pingyao, une jolie petite ville interdite aux voitures à l’intérieur des remparts, sieste obligatoire ! Puis petite ballade à vélo (très agréable pour celle qui ne pédale pas !).
Le lendemain, Xian, la ville de l’armée des soldats enterrés : la 8ème merveille du monde aux dires de certains. Puis retour express sur Beijing pour récupérer France à l’aéroport et retrouver les canards laqués !
Photos de cette série : ici

23/9/2005

A Beijing - footing sur 27 étages

Lionel a fait un footing dans le parc à coté de chez Yinan et il a fini en grimpant les 27 étages à pied. Lionel aime les défis à la noix…
Mais il était motivé car il savait qu’il allait envoyer cette petite dédicace à Franck : éh man, tu sais qu’en descendant sur Olkhon, dans le bus russe, on a eu droit à plein de chansons russes ok, mais aussi et surtout on a eu droit à notre copine Nadyia ! “Et c’est parti"…
Remarquez, en Chine, c’est Clayderman (clin d’oeil à Fabien).
Les 27 étages sont passés comme une lettre à la poste.

Chine

Premieres photos de la Chine, avec la ville a la frontiere sino-russe (Manzhouli), le parc du tigre, et Datong a 7 heures de train de Pekin

Sortie around Beijing

7 heures train de nuit en plus et voila Datong, avec ses fameuses grottes et son temple suspendu dans les falaises. cf. ici (nous sommes devant).
Un crochet par l’album photo vous permettra d’apprécier les 3 autres photos. Sur celle présentant l’un des 50 000 bouddhas sculptés directement dans la pierre - il faut le voir pour le croire-, les plus curieux devineront Estelle dans la pénombre. Toute petite…
Enfin, Estelle et Yinan posent juste avant notre rebond pour Datong. Yinan nous accueille a Beijing : nous avons mis chez elle un paquet de bocson. Lionel a refait connaissance avec la machine a laver deja rencontrée lors de notre séjour en 2004.
La bise a tous.

21/9/2005

Parc du tigre

Premiere chose faite en Chine, a Haerbin a pres de 1000 km de la frontiere : visite d’un parc avec des tigres et… et… un canard.
Vous devinez peut-etre ce qu’il s’est passe. cf. l’album photo - Dossier du Parc du tigre de Siberie !

18/9/2005

Au pays du milieu (Zhong Guo)

La Chine. Après avoir passé avec succès la frontière (cf. nouvelle rubriqueanecdotes“) Lionel Althuser et Estelle Bravard atterrissent dans la petite Andorre de Russie, Manzhouli où les chinois parlent russe, les russes achètent chinois, ou les restos servent russe, les russes amènent leurs petites amies russes ou trouvent de la petite chinoise sur place. Nous voici maintenant a Haerbin, ville moyenne de 10 000 000 d’habitants. Pas facile de changer de langue. Pas vrai, 入该网页 ?
Lonely planet à côté de la plaque, nous devons nous débrouiller seuls. Avec les bouquins comportant des traductions en idéogrammes et notre vocabulaire de 15 mots (les francais sont très bien vus, autant se mettre en valeur tout de suite), on y arrive. Internet : 20 cts l’heure, bus : 10 cts, coiffeur avec massage (avis aux demoiselles) : 2.5 euros, repas : 1,5 euros.

16/9/2005

Passage de la frontière Sino-Russe

Vous avez le choix : formulaire en Russe (АНКЕТА ДЛЯ ЗАПОЛНЕНИЯ)ou formulaire en Chinois (您已经在地址栏中输入该网页的地) ?
Vous n’avez pas le choix : vous devez monter dans un bus qui est dans la file, reste 1 km avant la frontière. Vous devez patienter jusqu’aux barrières. La-bas : descente de tous les passagers. 1ère salle : controle des bagages, 2nde salle : controle des passeports et des visas.
Puis, remontez dans le bus et bis repetita à la frontière Chinoise.

Pour nous, ca a été le formulaire en russe avec l’aide de Coréens et 5 heures de formalités.

Et vive la libre circulation des personnes !
Avis à ceux qui ont voté “non", pour bloquer la construction européenne. Vous voulez freiner ? Venez méditer quelques instants à cette frontière.

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